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| Le plafond de nuages s'éloigne tranquillement de Venise |
Matin nuageux mais avec un dégagement en mi-matinée. Nous prenons le vaporetto 2 qui emprunte le canale della Giudecca. Un petit arrêt à l'église du Rédempteur pour admirer quelques tableaux de Veronese et autres. On longe le quai de Zattero qui se trouve du côté sud du siestere Dorsoduro, puis derrière les quais des bateaux de croisières pour arriver à la gare dans le siestere de Cannaregio. Il y a un monde incroyable et pas surprenant que le vaporetto ne puisse embarquer tout le monde en attente.
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| Vers Giudecca, quartier autrefois industriel et maintenant résidentiel |
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| Dans l'église de la Rédemption, des peintures dans chaque vestibule |
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| Une orgie de peintures dans l'église des Scalzi |
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Peintures même au plafond, je n'étais pas supposée prendre de photo
mais j'ai appuyé par accident sur un bouton . . . |
En quittant le vaporetto, nous visitons l'église des Scalzi (aussi appelée Santa Maria dii Nazareth ou encore des Carmes déchaussées) dont la riche façade était cachée par un échafaudage de rénovation. Puis, direction du siester de San Polo où l'on flâne dans les ruelles, traversant campi et ponts. Un arrêt devant l'imposante église gothique de Santa Maria Gloriosa dei Frari et la Scuola Grande di San Rocco. Ces 2 sites possèdent une importante collection de grands peintres vénitiens, mais nous avons déjà eu notre dose de peintures.
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| L'église paraît et est gigantesque au milieu du quartier résidentiel |
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| La scuola Grande di San Rocco |
Avec le soleil qui nous réchauffe, pourquoi pas un tour à la fameuse plage du Lido ? Et hop à nouveau sur le vaporetto 2 qui nous mène vers ce bord littoral de villégiature qui s'étire en longueur sur plusieurs kilomètres et à peine 800 mètres de large. En arrivant, une petite marche avec un arrêt au restaurant pour . . . du spaghetti a la vongole et vin rouge. La plage est à moins de 10 minutes de marche de la station des vaporetti. Étonnamment, l'eau était baignable. La plage n'a rien de comparable aux plages des Caraïbes ou de Floride : sable brun, coquillages et une enfilade de cabines sur 2 km.
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Ce qui est brun est le sable, ce qui est blanc sont les coquillages entiers.
J'ai gardé mes chaussures et trempé ma main dans l'eau.
Derrière, la mer Adriatique |
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La saison estivale ouvre officiellement le 1er juin.
L'indice de qualité de l'eau y est indiqué |
Après avoir profité du soleil, de retour en vaporetto vers le quartier de San Marco à la station du Rialto, à l'extrémité ouest, loin du quadrilatère de la place St-Marc. Autre promenade à travers les calli parfois étroites et d'autres touristes, sans être piétiné ou bousculé. Évidemment, un autre arrêt-spritz traditionnel au campo de San Stefano.
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